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Parce que toute histoire, qu’elle soit heureuse ou tragique a toujours un commencement, je vous invite à découvrir les évènements qui se déroulèrent au cours de la Grande Vague (ou Vague Noire) qui vît les hordes de Faucheurs et d’Hurleurs poser le pied sur les terres humaines.
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L’histoire :
De par sa situation géographique, les Terres Immergées sont régulièrement recouvertes par l’océan tout proche. La majeure partie du temps, les flots ne font que recouvrir une infime partie des terres à certains moments de l’année ( Marées dites “annuelles”).
Tous les dix ans environs, les flots s’avancent à l’intérieur des terres jusqu’à couvrir un tiers des Terres Immergées. (Marées dites “décennales”). Une fois par siècle, sans qu’aucun phénomène ne puisse l’expliquer, les flots continuent leur avancée pour recouvrir plus de la moitié des Terres Immergées.( Marées dites “centennales” ou “Grandes Crues”)
Au fil des siècles et du temps, la Grande Crue est devenue un événement, une fête auxquels les hommes se précipitent afin de célébrer l’oeuvre des dieux créateurs autant que le retour des hommes et des femmes partis explorer les océans du monde.
C’est au cours d’une de ces Grandes Crues que le destin de l’humanité bascula à jamais.
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L’Interminable attente:
Nekkin, le roi de l’époque ainsi que les grands seigneurs du monde étaient réunis afin de célébrer le retour de la Grande Crue et des festivités qui l’accompagne. Tous attendaient impatiemment le retour des explorateurs revenus des confins des océans, les cales chargées des trésors que recelait la mer.
Comme le voulait la tradition, l’honneur d’accueillir les premiers bateaux revenait au seigneur des Terres Immergées qui après être monté à bord du vaisseau amiral pénétrait dans les terres par le courant des Braves, vaste espace de plusieurs kilomètres de large ou les courants marins portent les navires jusqu’à l’intérieur des terres, jusqu’aux pieds du roi.
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A la surprise générale, plusieurs centaines de bateaux apparurent à l’horizon alors qu’une vingtaine seulement étaient attendus. A leur approche, les hommes constatèrent avec autant de joie que d’étonnement qu’il s’agissait de navires partis, il y a de nombreux siècles et dont on pensait qu’ils s’étaient perdus en mer.
Comme il était de coutume, les navires se mirent en formation pour former une ligne de cinq navires que le courant emportait au cœur des terres. Mais alors qu’ils étaient à quelques kilomètres des premières habitations, les larges voiles des navires se déplièrent soudainement avant que le vent ne s’y engouffre, faisant gonfler les centaines de voilures.
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Le sanglant débarquement:
Poussés par le vent et les courants, les navires prirent subitement de la vitesse et fondirent sur la haie d’honneur formée par les embarcations des hommes et femmes de la région.
Abasourdis par le spectacle, les hommes réalisèrent trop tardivement qu’il leur fallait fuir. Filant comme des flèches sur les flots, les larges bateaux brisèrent les frêles habitations aussi soudainement que la marée s’empare des terres avant de continuer leur implacable avancée.
Emportés par leur élan, les immenses navires qui formaient toujours une seule et même ligne continuèrent leur avancée pour fondre sur le port, brisant sans distinction métal et bois, tout comme les hommes qui se trouvaient sur leur passage.
Après plusieurs centaines de mètres la coque des navires toucha le sol et dans un terrible hurlement de bois et de métal s’échouèrent au cœur de la ville.
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Malgré le chaos de la situation, un vaste camp de fortune fut établi à la hâte à quelques centaines de mètres du naufrage. Le roi Nekkin suivi des seigneurs encore en vie se dirigea à l’endroit où gisait l’immense navire d’exploration en tête du cortège. Sans se soucier de sa propre sécurité, il porta secours aux hommes et femmes encore en vie près de l’épave.
A force d’efforts et de patience, ils parvinrent à dégager les débris pour atteindre la cale du bateau. Lorsqu’ils approchèrent, ils entendirent avec stupeur de puissants cris résonner dans le ventre de navire. Pensant qu’il s’agissait de survivants en train d’étouffer, ils se précipitèrent, escaladant les débris, frappant les lourdes cales de bois à l’aide de puissantes masses.
Mais lorsqu’un espace suffisamment grand fût percé, aucun homme n’émergea des débris, à la place les hommes découvrirent avec stupeur qu’ils n’étaient pas seuls sur terre.
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