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Située au Nord-Est de la région des Monts, Long Pardon est l’une des plus grandes prisons au monde. A l’intérieur de ces murs sont enfermés les plus grands criminels, traitres et parjures ayant jamais foulé la terre.
La croyance populaire veut que les premiers cachots de Long Pardon aient été creusés à l’aube de l’humanité, après qu’une armée à la solde d’un seigneur de guerre dont l’histoire a oublié le nom ait attaqué un village appartenant aux hommes des Monts.
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Origine et construction de la prison :
Après une attaque surprise sur la ville, les assaillants parvinrent malgré les pertes à percer les défenses de la cité pour en prendre le contrôle.
Conscients que leur attaque ne manquerait pas de faire réagir les hommes des Monts dans les jours prochains, les assaillants décidèrent de fêter leur victoire le jour même et ce jusque tard dans la nuit. Mais leur empressement tout comme leur goût trop prononcé pour la fête et le vin leur fût fatal.
Au coeur de la nuit, quelques heures avant le lever du jour, les hommes des Monts alertés de la prise de leur ville descendirent de leur cache dans les montagnes pour fondre sur la cité. Bien trop ivres et trop fatigués pour combattre, les occupants furent anéantis par les guerriers des Monts.
Afin de punir ceux qui avaient tenté de s’emparer de leur terre autant que pour marquer les esprits, les seigneurs des Monts condamnèrent les survivants à être témoin du passage du temps et des saisons. Tout comme ils avaient tenté de faire passer l’héritage des Monts à l’ombre de l’histoire, les survivants passeraient leur vie à contempler le monde.
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Ainsi furent creusés à flanc de montagne les premiers cachots de ce que les hommes nommèrent plus tard, Long Pardon. Privés de liberté et de tout contact avec l’extérieur, les prisonniers pouvaient contempler de leur abri à flanc de la montagne le royaume des Monts s’étendre en même temps que leur vie se réduisait.
Quelques années plus tard, la prison comptait pas moins d’une centaine de cellules dont les plus récentes s’élevaient jusqu’à vingt mètres du sol. Au fil du temps, Long Pardon n’a cessé de se développer, comptant toujours plus de cellules qui montaient toujours plus haut le long des parois de la montagne.
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L’Interminable pardon:
Les cellules, elles, sont aujourd’hui encore toutes identiques et mesurent six mètres de long pour trois mètres de hauteur et trois de profondeur. Seules les étroites marches des Repentis creusées à même la roche permettent d’y accéder. L’escalier qui monte inexorablement au cœur de la montagne permet à trois hommes d’y monter de front.
Tous les dix mètres ont été taillés dans la roche de larges boyaux qui longent la montagne pour accéder aux cellules. Dans ces boyaux, il n’est possible d’avancer qu’en file indienne.
Encadré de gardes et sous la surveillance d’archers postés à chaque intersection, le condamné est conduit jusqu’à sa cellule avant que l’entrée ne soit refermée à l’aide d’une épaisse porte en pierre qui scelle l’entrée du cachot par un système de poulis. Une fois à l’intérieur, le condamné est privé de tout contact extérieur pendant la durée de sa peine.
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A heure fixe, les prisonniers sont nourris via un système de planches en bois amenées jusqu’à eux par plusieurs systèmes de poulies activées depuis le sol. Lorsque la planche comportant le numéro de leur cellule passe à leur hauteur, les prisonniers sont autorisés à prendre leur repas ainsi que les éventuels objets disposée sur celle-ci.
Dans le cas ou un prisonnier s’emparerait volontairement ou non de repas ou d’objets ne lui appartenant pas, il est alors privé de toute ration pendant plusieurs jours voire plusieurs semaines.
Une fois leur peine terminée ( ou la mort venue), les noms des prisonniers sont gravés sur les murs de la cellule afin de marquer leur passage au sein de la prison.
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