Le problème Orcs

[vc_row][vc_column][vc_single_image image=”1383″ alignment=”center” style=”vc_box_border_circle” onclick=”img_link_large”][vc_column_text]Quoi, ils ont un problème les Orcs?

Bon d’accord, ils sont pas super beau, c’est pas les plus gentils…,c’est pas forcément les plus malins du lot non plus…De la à dire qu’ils ont un problème…quand même…

[/vc_column_text][vc_column_text]

Lorsque le mot Orc arrive dans une conversation, plusieurs réponses sont envisageables en fonction de l’interlocuteur et de ses références en la matière:

.– “Hein? De quoi tu parles?”, ou encore “Si je l’ai vu, c’est pas celui où il nage à la fin?”

Dans ce cas là, vous pouvez tout de suite mettre un terme à la conversation, les chances que vous vous compreniez durant la prochaine décennie sont, il faut bien l’avouer, plutôt minces.

 [/vc_column_text][vc_column_text]

Les orcs de Tolkien :

Les autres risquent en revanche de vous parler, d’orcs, de gobelins, de nains et d’elfes dans la même phrase. L’ensemble risque d’être confus mais la référence est là.

Les Orcs.

Lorsqu’on entends ce nom, les premières images qui viennent en tête sont celles des films de Peter Jackson, des armées avides de sang faisant le siège devant le gouffre de Helm, devant la cité blanche de Minas Tirith.

Pour d’autres, peut-être les plus jeunes, ce sont les orcs bodybuildés de World of Warcraft qui vont venir en tête. Grands, balèzes, la bouche couverte de crocs, les bras épais comme des troncs d’arbres, les jambes capables d’écraser n’importe quelle cage thoracique. L’arme de guerre ultime au corps à corps, celle qui mettrait une peignée à Conan et peut-être même à Chuck Norris. Bref, l’Orc dans toute sa splendeur, sa férocité.

Comme c’est le cas en science fiction avec les fameuses lois sur la robotique d’Asimov, il est difficile, voire même impossible en fantasy de parler d’orcs sans être influencé par Tolkien où à Wow.

[/vc_column_text][vc_single_image image=”1713″ img_size=”250×150″ alignment=”center” onclick=”custom_link” link=”https://www.john-howe.com/portfolio/gallery/details.php?image_id=2542″][vc_column_text]

Des orcs, oui mais non !

Comme je l’ai évoqué dans le premier épisode de ces réflexions, j’ai fais le choix de ne pas recourir à la magie ni aux dragons dans l’univers de Mélianor. Je me prive déjà pas mal de choses, c’est pas pour sacrifier les orcs! Nan mais oh!

C’est là l’un des très nombreux et plus important problème auquel je suis confronté : parvenir à trouver un nom pour désigner ces créatures touchées par l’ombre et le mal. Car oui, même si l’histoire je sais ou je vais dans l’histoire, les créatures elles sont toujours appelées orcs et pour le coup ça le fait moyen.

J’ai pas mal d’idées en tête mais aucune ne me satisfait réellement..elles sont soit trop simplistes, trop complexes où juste moche à lire et à entendre (oui parce que ce ça joue aussi beaucoup dans un nom la prononciation!). Bref, dans le désordre ça donne:

Obscurs, Ombreux, Noireaux, Sombres,

Sans même aller vérifier, je me doute bien qu’Obscurs à déjà dû être utilisé un paquet de fois…

Noireaux, trop vulgaire et ne fait pas ressortir le côté violent, cruel des créatures….

Sombres, bah c’est trop simple et pas assez parlant….

Ombreux: C’est le moins mauvais de tous mais pareil, je pense qu’il a déjà été utilisé et il ne rend pas bien compte de ce que peuvent être les créatures à part qu’elles se fondent dans l’obscurité.

[/vc_column_text][vc_column_text]

Cette petite digression Orctique pour dire que même après plus de 300 pages, et plus de 500 000 caractères, oui, c’est totalement possible de ne pas connaitre des éléments essentiels du livre qu’on est en train d’écrire.

Il faut juste essayer de bien le vivre….

A très vite pour de nouvelles digressions !

Julien!

[/vc_column_text][vc_column_text]N’hésitez pas à partager cet article tout autour de vous :

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

Please follow and like us:

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *